“D’où que le bon vienne, il le faut aimer… Et il ne faut pas permettre à notre propre intérêt ou amour d’employer notre propre prudence contre la volonté de l’Époux céleste.” (Lettre à une abbesse EA t. 20, p. 348, le 29 août 1622)
Tout au long de sa vie, Jésus a accompli la volonté de son Père. Tout chez lui a été soumission libre et acceptée par amour.
Nous pouvons prier, aujourd’hui en pensant à ses paroles de Getshemani : « Abba, Père, tout t’es possible, éloigne de moi cette coupe ; pourtant pas ce que je veux, mais ce que tu veux ».