Cette souveraine Bonté répandit une abondance de grâces et bénédictions sur toute la race des hommes et la nature des Anges, de laquelle tous ont été arrosés comme une pluie qui tombe sur les bons et les mauvais. (TAD II, 26, la Pléiade p. 428)
Ce récit introduit les trois paraboles de la miséricorde : « La brebis perdue », « la drachme perdue », et « l’enfant prodigue. »
« Point de prodigue sans pardon qui le cherche, nul n’est trop loin pour Dieu. »