« Il faut « s’abstenir d’une imperfection insensible, mais grandement nuisible, de laquelle peu de gens s’abstiennent : qui est que s’il nous arrive de censurer le prochain ou de nous plaindre de lui (ce qui nous devrait rarement arriver nous ne finissons jamais, mais recommençons toujours et répétons nos plaintes et doléances sans fin : qui est signe d’un cœur piqué et qui n’a pas encore de vraie santé. » (Lettre à Mme de Peyzieu, 26 octobre 1612, EA t. 15, p. 288)
Tu nous invites Seigneur à aimer bien au-delà de notre petite sphère habituelle (famille, proches, amis). Tu nous dis : « Aimez même vos ennemis » ! Là cela devient beaucoup plus difficile.
« Seigneur, élargis nos cœurs, augmente nos petits courages. »